Le 23 octobre 2007 de 19H55 à 20H00, l'Alliance pour la Planète, collectif de plus de 70 ONG environnementales, appelle les citoyens français à éteindre la lumière pour observer 5 minutes de clair obscur écologique et à changer au moins une ampoule à incandescence par une ampoule à basse consommation. Le but : envoyer un signal fort au Grenelle de l'Environnement.
Le 1er février 2007, l'Alliance pour la Planète avait lancé son premier « 5 minutes de répit pour la planète ». Selon RTE, cette opération avait impliqué 3 millions de ménages en France et avait été reprise dans plusieurs pays européens, puis développé depuis en Australie et aux Etats-Unis.
L'objectif de cette action n'est pas tant d'économiser de l'énergie pour réduire les émissions de gaz à effet de serre que de réfléchir à l'impact de nos comportements sur l'environnement. Il faut plus que 5 minutes d'extinction des lumières pour sauver notre planète. De plus, en changeant au moins une ampoule, l'Alliance rappelle que les économies d'énergie constituent la priorité numéro 1 pour lutter contre les changements climatiques.
Si je me rappelle bien, quelques villes romandes avaient joué le jeu...
Les ampoules économiques sont-elles plus nocives que les ampoules à incandescence ?
Des composants préjudiciables à l'environnement interviennent dans la composition des ampoules économiques. Le plus toxique de ces éléments est le mercure. Cependant ce mercure est également libéré, directement dans l'atmosphère, lors de la production d'électricité par combustion d'énergies fossiles. En consommant moins d'énergie, l'utilisation d'ampoules économiques permet de libérer moins de mercure dans l'atmosphère. D'autre part, il existe de plus en plus de procédés ad hoc pour récupérer le mercure utilisé dans les ampoules économiques. Si l'on prend le problème dans son entier, particulièrement dans un paysage énergétique reposant essentiellement sur les énergies fossiles, il est donc recommandé d'opter pour des lampes économiques.
Cependant, afin de diminuer l'impact du mercure utilisé dans la composition des ampoules économiques, Greenpeace entreprend donc les démarches suivantes :
* Greenpeace encourage l'industrie à s'orienter dès que possible vers des ampoules économiques exemptes de mercure.
* Greenpeace demande à l'Union européenne de limiter la teneur en mercure autorisée à 3 milligrammes par lampe et d'établir un échéancier clair pour l'élimination complète du mercure dans les ampoules économiques.
* Dans les pays où ce n'est pas encore le cas, l'industrie de l'éclairage doit être contrainte de promouvoir activement le recyclage des lampes contenant du mercure, notamment en instaurant des systèmes de récupération.
En Europe, l'impact du mercure dans les lampes économiques est limité de la façon suivante: d'abord, la teneur en mercure dans une ampoule économique ne peut excéder 5 milligrammes. Mais déjà, bon nombre de fabricants ne vont pas au-delà de 3 milligrammes de mercure par lampe. Par ailleurs, les ampoules économiques font partie des déchets d'équipements électriques et électroniques que les fabricants et importateurs sont désormais obligés de reprendre et de recycler. Lorsque vous achetez une nouvelle lampe économique, vous payez une contribution Récupel de 0,3 euro. Ceci permet de payer la collecte, le tri, le transport et le traitement d'équipements usagés.
Topten présentent les lampes économiques des principaux fabricants et fournisseurs; ceux-ci représentent plus de 90% du marché des lampes économiques en Suisse.
* Osram: cette entreprise traditionnelle allemande fabrique des lampes depuis l’invention des ampoules électriques. Les avantages des lampes économiques Osram résident dans le choix étendu des produits et leur haute fiabilité, ainsi que leur durée de vie et leur résistance aux enclenchements.
* Philips: après Osram, Philips est le second grand fournisseur européen, siégeant aux Pays-Bas. Les lampes économiques Philips se distinguent avant tout par un allumage rapide. Philips propose pratiquement la même gamme de produits qu’Osram
* Megaman: cette entreprise allemande produit et distribue des lampes économiques depuis 1994. Les lampes sont fabriquées en Chine. De nombreux tests ont prouvé la qualité des lampes chinoises, qui souffrent en général d’une mauvaise réputation. Megaman montre que les produits de fabrication chinoise sont d’excellente qualité. Megaman produit non seulement des lampes économiques très bon marché (entre autres pour IKEA), mais aussi des lampes spéciales (p. ex. lampes économiques ultra compactes), qui, bien sûr, ont également leur prix.
* IKEA: la chaîne de grands magasins occupe environ 50% du marché des lampes économiques en Suisse. Elle distribue les lampes de l’entreprise Megaman sous son propre nom. Les prix sont bas, et la qualité, d’après des tests indépendants, est bonne.
* Migros distribue des lampes économiques de l’entreprise Osram sous le nom de marque Sunlux. Elle propose, parmi les lampes standard, une lampe bon marché exclusive d’Osram. La gamme des produits Migros comprend près de 20 types de lampes économiques (MMM). Dans les petits et moyens supermarchés ne sont proposées que des lampes standard.
* Coop et divers grands magasins distribuent des produits originaux de l’entreprise Philips. La gamme de Coop comprend près de 20 types de lampes économiques (Brico et loisirs). Dans les supermarchés ne sont proposées que des lampes standard.
Deux autres fabricants sont à mentionner:
* Les lampes économiques Sylvania sont vendues en partie dans les magasins d’appareils électriques. Leur qualité n’est pas remise en question, mais leur déclaration est insuffisante. La part de marché de Sylvania est relativement réduite.
* General Electric est une très grande entreprise américaine; sa présence sur le marché des lampes en Europe est très réduite.
* Il existe, en outre, de nombreux «sans nom». Notamment en raison de leur déclaration trop floue, de tels produits sont généralement déconseillés.
Écologie
Écobilan
La fabrication d’une lampe économique nécessite une fraction seulement de l’énergie dont elle a besoin pour fonctionner. Certes, sa fabrication nécessite environ 5 fois plus d’énergie que celle d’une ampoule à incandescence normale, mais une bonne lampe économique (Topten) a une durée de vie 6 à 15 fois plus longue.
Les lampes économiques contiennent des substances toxiques; elles doivent donc être traitées comme des déchets spéciaux (voir ci-dessous). La nouvelle directive RoHS vise à réguler et réduire cette quantité de substances dangereuses (voir ci-dessous). Si l’on compare l’économie d’émissions de CO2 obtenue aux déchets produits, le bilan est clairement positif dans le cas de la lampe économique; c’est-à-dire que la pollution par les déchets spéciaux est nettement inférieure à la pollution par le CO2 des ampoules à incandescence comparables.
Elimination
Les lampes économiques usagées sont des déchets spéciaux. Depuis le 1er août 2005, tous les points de vente sont tenus de reprendre gratuitement les lampes économiques usagées. Une taxe anticipée de recyclage (TAR) est prélevée sur la vente des produits neufs afin de financer le recyclage. Ainsi, toutes les lampes économiques usagées peuvent et doivent être éliminées uniquement par le biais des points de vente.
La reprise obligatoire concerne en particulier les lampes à faible consommation d’énergie et les tubes fluorescents (les tubes dits «au néon»), mais aussi les lampes spéciales telles que les lampes à vapeur de mercure, les diodes électroluminescentes et les tubes de solarium. La reprise et le recyclage ne sont pas obligatoires pour les ampoules à incandescence normales et les ampoules halogènes. Ces dernières peuvent être éliminées, comme d’habitude, par l’intermédiaire des déchets ménagers.
Les immissions des réseaux de téléphonie mobile et de radiocommunication sur le lieu de travail : largement sans danger
Les immissions des réseaux de téléphonie mobile et de radiocommunication sont largement sans danger pour les travailleurs. Telle est la conclusion d’une étude menée par le Secrétariat d’Etat à l’économie SECO. En 2006, le SECO avait effectué des mesures sur près de 400 postes de travail au sein de cinq grandes entreprises de Berne, Bâle et Zurich. Il s’agit de la première étude de ce type réalisée en Suisse.
Les systèmes de communication sans fil sont de plus en plus répandus sur le lieu de travail. Dans le quotidien des administrations, fournisseurs de prestations de services, hôpitaux et entreprises à vocation technologique, l’amplitude et l’intensité des immissions permanentes dues au rayonnement électromagnétique non ionisant à haute fréquence imputable aux réseaux de téléphonie mobile et de radiocommunication ne sont pas encore connues. C’est pour cela que le Secrétariat d’Etat à l’économie SECO a réalisé l’étude « Champs électromagnétiques (RNI) aux postes de travail : les immissions des réseaux de téléphonie mobile et de radiocommunication représentent-elles un danger ? ».
En 2006, le SECO a mesuré sur près de 400 postes de travail dans cinq grandes entreprises (La Poste, un hôpital, un institut financier, une grande gare CFF et un aéroport) les immissions dues au RNI comprises dans une gamme de fréquences oscillant entre 75 MHz et 2,5 GHz pour les rapporter aux valeurs limites fixées dans la loi sur la protection de l’environnement.
Sur tous les postes de travail analysés, il s'est avéré que le respect des valeurs limites environnementales en vigueur actuellement en Suisse prévaut largement. Ce sont les immissions produites par les GSM (Système global de communication mobile) et les DECT (Digital Enhanced Cordless Communications) qui prédominent dans la plupart des cas.
En ce qui concerne donc le rayonnement électromagnétique non ionisant à haute fréquence, l’étude du SECO confirme en grande partie une appréciation de la situation qui ne soulève pas de problème sur le plan des risques sanitaires sur le lieu de travail. Pour l’usage d’installations de radiocommunication, le SECO recommande néanmoins de conserver une distance de plusieurs mètres avec les postes de travail permanents.
S’agissant des années à venir, le SECO gardera un œil sur l’évolution de la situation et conduira au besoin des enquêtes répétées afin de déceler à temps les éventuels changements au niveau des immissions dues au RNI qui résultent des progrès technologiques.
L'immission caractérise la concentration des polluants dans l'air ambiant. C'est le stade final du cycle de la pollution atmosphérique qui concerne la qualité de l'air après concentration des polluants primaires (venus de l'émission) et des polluants secondaires créés après transformation des polluants primaires. Le terme immission provient du latin: immittere = envoyer dans, tandis qu'émission vient d' emittere = envoyer à partir de.
Le cycle de la pollution atmosphérique se découpe schématiquement en quatre phases :
L'immision est donc la qualité de l'air ambiant, obtenue, en un lieu donné, dans le grand cycle ci-dessus ; il s'oppose quelque peu à la notion d' émission.
L'immission est surveillée en France par les AASQA.
On dirait qu'Aldi s'installe gentiment sur l'axe de la A12 et A9:
Guin/Düdingen: une demande de permis de construire est en cours.
Bulle (nord) un magasin est en construction, les offres d'emploi (à temps partiel) viennent d'apparaitre sur le site cette semaine.
Bulle (est = La Tour-de-Trême): une parcelle située vers la nouvelle Migros est ou serait peut-être sur le point d'être achetée.
Collombey/Muraz: en construction comme le montre cette photo ( et qui est censé être le premier ouvert en romandie, mais selom le porte-parole, ça devrait être ce3lui de Bulle...).
Conthey: en construction.
Sion: en construction.
Pour ces trois dernières villes, les annonces pour des emplois à temps partiel existent depuis longemps...
C'est ce que l'on peut constater sur cette image... (en plus de certaines rues qui sont placées à Tartegnin...)...
Par contre, si on affiche la carte sur google maps, l'ile existe ... et en mixte, le nom s'affiche mais à part deux petits points blancs.... le néant....
Par contre, l'ile de Salagnon et l'ile de Peilz ainsi que la drague de la Sagrave sont bien présente.
Dans 2 semaines aura lieu le concert d'Elton John sur la place du Marché.
Ce qui implique le déplacement du marché, qui, pour une fois, ne sera pas installé dans la vieille ville, mais sur le quai Perdonnet, dans la même configuration que lors de la foire de la brocante qui aura lieu le week-end prochain. C'est à dire depuis l'Alimentarium (en principe) jusqu'au début du quai d'entre Deux Villes. En espérant que les parkings de Nestlé seront ouvert...
Article de ZDNET concernant Youtube, qui a quand même été racheté par Google pour environ 2 milliards de francs..., qui instaure la publicité lors des passages des vidéos en ligne, les recettes seront partagées entre Google et l'annonceur. Ce dernier versera à Google 20 dollars (environ 24 francs) à chaque fois que 1.000 passages auront été réalisés.
Et en prime, une news concernant google earth qui va permettre d'avoir le nez dans les étoiles au bureau, euh enfin à la maison...
YouTube insère des bandeaux publicitaires dans ses vidéos
Stratégie - Il s'agit d'un nouveau format qui défile en surimpression pendant dix secondes en bas des vidéos. Après une période de tests probante avec quelques annonceurs, Google a décidé de les diffuser sur une sélection de clips.
Les utilisateurs de YouTube vont voir, dans les prochains jours, les premières publicités intégrées directement dans les vidéos. Google, la maison mère de la société, a développé un nouveau format, qui se veut le moins intrusif possible pour ne pas rebuter une communauté de visiteurs habitués à l'absence de messages publicitaires.
S'appuyant sur la technologie Flash, ces publicités apparaîtront au bas des vidéos, sous la forme d'un bandeau quasi transparent et défilant en surimpression sur les images du clip. Elles s'activeront quinze secondes après le lancement de la vidéo, et sont prévues pour rester à l'écran une dizaine de secondes.
L'internaute peut soit fermer le bandeau publicitaire aussitôt qu'il apparaît, soit cliquer dessus. Dans ce cas, la vidéo s'interrompt et l'internaute voit apparaître un second lecteur à l'intérieur du lecteur YouTube. Il lui suffit de cliquer à nouveau sur la vidéo pour qu'elle reprenne son cours. S'il décide de regarder à nouveau cette même vidéo, le message publicitaire ne sera pas diffusé une seconde fois.
Des taux de clics 5 à 10 fois supérieurs
Ces premières publicités apparaîtront sur une sélection de vidéos, dont Google s'est assuré qu'elles ne contrevenaient pas au droit d'auteur et ne contenaient pas de séquences choquantes. Après avoir mené un test avec un nombre restreint d'annonceurs, la société ouvre son système à tous. Les publicités peuvent être ciblées par genre, données démographiques ou géographiques, et selon l'heure de diffusion souhaitée.
L'enjeu pour Google est de parvenir à monétiser plus efficacement YouTube, qui revendique quelque 130 millions d'utilisateurs dans le monde. Jusqu'à présent, le moteur de recherche a toujours refusé d'utiliser un format qui semblait incontournable : l'insertion de publicités vidéo avant ou après la diffusion des clips. Considérant qu'une publicité de quinze secondes qui défile avant que l'internaute ne puisse accéder à sa vidéo, est la meilleure façon de faire fuir son audience.
Selon Shashi Seth, directeur produit de YouTube, la société est satisfaite des premiers retours sur le format Flash en bandeau. Les premiers tests prouvent que les taux de clics sur ces pubs sont cinq à dix fois supérieurs que ceux relevés sur les publicités classiques. Par ailleurs, 75 % des internautes qui ont cliqué sur le bandeau sont ensuite retournés voir la vidéo, affirme-t-il.
Ce n'est plus seulement sur Terre que Google nous invite à voyager devant notre ordinateur mais aussi dans l'espace. La célèbre firme Internet de Mountain View vient d'enrichir son logiciel de modélisation géographique Google Earth d'une nouvelle fonctionnalité aux capacités impressionnantes.
Baptisée "Sky" (Ciel), cette fonctionnalité "permet à tous les utilisateurs du produit de visualiser et de naviguer parmi 100 millions d’étoiles différentes et 200 millions de galaxies", précise l'éditeur.
Galaxies, constellations, images du téléscope Hubble, animation de la Lune, planètes... Google Earth ouvre les ressources de l'univers au commun des internautes équipés d'une connexion haut débit. L'utilisateur navigue dans l'espace comme il le fait sur la modélisation 2D de la Terre. A la souris pour faire défiler le "paysage" ou en saisissant le nom d'une planète (hors système solaire), d'une galaxie, d'une nébuleuse, d'une constellation...
Sept calques d'informations
La modélisation du ciel est enrichie de sept calques d'informations (Constellations, Astronomie amateur, Galaxies, Planètes...) à l'affichage optionnel. Et notamment les données recueillies par le télescope Hubble (Hubble Showcase) dont les nombreux clichés en haute résolution viennent s'afficher en surimpression. Un clic sur les icônes qui les accompagnent fait apparaître une fiche explicative qui propose également des liens vers les sites dépositaires des informations recueillies. Pour le moments, les explications sont en anglais. Mais Google promet qu'elles seront prochainement proposées en français.
Pour réaliser cette prouesse, les ingénieurs de Google ont assemblé de nombreuses images issus de différents projets scientifiques (Space Telescope Science Institute, Sloan Digital Sky Survey, Digital Sky Survey Consortium...). Le projet est, lui, né de la collaboration entre les équipes de Google et l'Université de Washington. Google propose une vidéo démonstrative de Sky. Mais le mieux reste encore de découvrir directement les nombreuses possibilités de l'application.
Les imprimantes laser aussi dangereuses que la clope
BRISBANE (AUS) – Travailler à côté d’une imprimante peut mettre votre vie en danger, selon une étude australienne.
Alors que la plupart des bureaux sont devenus non-fumeurs pour protéger la santé des employés, une étude australienne affirme aujourd’hui que certaines imprimantes laser seraient tout aussi nocives que le tabac. C’est en mesurant la qualité de l’air dans les locaux d’une entreprise pour analyser son système de ventilation que la professeure Lidia Morawska et son équipe de chercheurs de la Queensland University of Technology ont découvert que la densité de particules fines en suspension y était cinq fois supérieure qu’à l’extérieur, relate le Sydney Morning Herald. «Les chiffres étaient considérablement plus importants qu’aux abords d’une route très fréquentée», déplore la physicienne, spécialiste de la qualité de l’air et de l’environnement. La première réaction de son équipe aura été d’éloigner immédiatement des postes de travail toutes les imprimantes incriminées de ses propres locaux.
Entre cent et mille fois plus fines qu’un cheveu humain, ces particules pénètrent dans les profondeurs des poumons et constituent ainsi un véritable danger pour la santé. «L’une des imprimantes observées a émis un taux de particules comparable aux émissions associées à la fumée de cigarette. Les effets peuvent aller d’une simple gêne respiratoire à des problèmes cardiovasculaires ou même à un cancer.» L’étude s’est penchée sur 62 imprimantes de marques Hewlett Packard, Canon, Toshiba et Ricoh, dont 37 n’ont produit aucune particule, et 17, parmi lesquelles de nombreux modèles HP, en ont révélé une quantité importante.
Sinon, je ressort ce que j'avais publié il y 3 ans déjà, en mai 2004:
Imprimantes laser: le toner est cancérigène ?
l l'est sur les rats.
Il peut aussi favoriser les maladies pulmonaires.
Il est souvent constitué de produits chimiques toxique à haute concentration.
Les poussières de toner se répandent dans les pièces et sont inhalées par les occupants.
K-tipp a testé 8 toners dont 7 contiennent du benzol, dont certains à haute dose.(Résultats pas encore on-line....)
Résumé en gros de:
Laserdrucker: Unterschätztes Gesundheitsrisiko
Aus Zenhtausenden Bürodruckern dünstet gesundheitsschädlicher Toner in die Raumluft. Das Problem ist seit Jahren bekannt. Doch erst jetzt werden Opfer ernst genommen.
Acht Jahre lang litt Elektroingenieur Louis Niederer an unerklärlichen Beschwerden: Der Angestellte der ETH Zürich klagte über stechenden Hustenreiz und tränende Augen. Und das immer nur im Februar und im Juni, wenn er zu Semesterschluss tausende Fragebogen zur Unterrichtsbeurteilung ausdruckte. In Niederers Büro steht ein Laserdrucker. Er druckt Toner aus einer Kartusche aufs Papier. Im Gerät zurückgebliebene Tonerreste bläst der Drucker in die Raumluft. Auch beim Wechseln der Tonerkartusche und beim Beheben eines Papierstaus verteilt sich Tonerstaub im Büro.
Tonerpulver enthält oft giftige Chemikalien in hoher Konzentration. Diese Giftstoffe machten den Hamburger Joachim Stelting berufsunfähig. Der ehemalige Hauptkommissar ist nachweislich wegen des Toners aus dem Laserdrucker an Asthma erkrankt. Stelting gründete die Interessengemeinschaft Tonergeschädigter (siehe Link) und untersuchte das Problem der Feinstäube aus Laserdruckern: "Wir können inzwischen nachweisen, dass das, was ich erlitten habe, kein bedauerlicher Einzelfall ist. Wir haben mittlerweile hunderte von Fällen dokumentiert und in jedem achten Fall eindeutige fachärztliche Beweise dafür liefern können, dass der Toner tatsächlich schädigt", sagt Stelting. Diese Erkenntnis wird inzwischen durch die Wissenschaft gestützt: Die Bundesanstalt für Arbeitsschutz und Arbeitsmedizin (baua) in Dortmund hat kürzlich eine Aufsehen erregende Studie veröffentlicht: Mit Dosen, die auch im Büro erlaubt sind, hatten Wissenschaftler die Wirkung von Tonerstäuben an Ratten getestet. Erschreckendes Resultat: Der Tonerstaub hat bei den Ratten zu Krebs geführt. "Wir befürchten, dass auch bei Einhaltung des allgemeinen Staubgrenzwertes eine Lungenkrebs erzeugende Wirkung dieser Stäube nicht ausgeschlossen werden kann", sagt Peter Wardenbach von der Bundesanstalt für Arbeitsschutz und Arbeitsmedizin.
Das Konsumentenmagazin K-Tipp hat für die aktuelle Ausgabe acht Laserdruckertoner von der Landesgewerbeanstalt Bayern auf gesundheitsschädigende Stoffe untersuchen lassen. Das Resultat ist bedenklich: Neben diversen Giftstoffen fand das Labor auch das unbestritten krebserregende Benzol. Benzol gehört nicht in die Büroluft. Doch sieben der acht von K-Tipp getesteten Toner enthielten Benzol. Einige in hoher Konzentration. "Es ist fast ein Skandal, dass das in diesem Ausmass nachgewiesen werden konnte", findet Urs Hinnen vom Zentrum für Arbeitsmedizin, Ergonomie und Hygiene in Zürich. Der Arbeitsarzt fordert denn auch, dass Hersteller und Behörden auf die neuen Erkenntnisse der baua-Studie reagieren. „Bis jetzt ist man davon ausgegangen, dass Tonerstaub unbedenklich ist. Doch das Urteil muss man jetzt natürlich revidieren", sagt Hinnen.
Das Gesetz lässt den Verkauf dieser Toner weiterhin zu. Wer oft mit Laserdruckern arbeitet, setzt sich einem erhöhten Gsundheitsrisiko aus und muss sich deshalb vorsehen (siehe Tipps und Merkblätter baua). Elektroingenieur Louis Niederer benutzt den Drucker in seinem Büro praktisch nicht mehr, und die Unterrichtsbeurteilungen verschickt er heute per E-Mail. Beschwerden hat der Wissenschaftler keine mehr.